![]() de l’information est souvent limitée à des indices composites comme l’IQA au Québec. Les inquiétudes ou problématiques précises d’un citoyen n’étant pas directement ou facilement disponibles (par exemple le niveau de particules ou de COV) et rarement à proximité du lieu d’intérêt. À l’instar de bien d’autres domaines, le suivi de la qualité de l’air semble profiter de la démocratisation de l’internet allié à une avancée des technologies de mesure/détection peu coûteuses. Ceci rend disponible de nouveaux outils favorisant l’accessibilité et une participation du public dans le suivi de la qualité de l’air. Cette évolution mérite d’être comprise, car il pourrait être avantageux de l’exploiter pour les études d’impacts et la gestion de plaintes. |